Avril 2025

Préservation
Patrimoine
Colonisation
Cartographie
RiC
Histoire
Date de publication

1 avril 2025

Un mois un peu bousculé, avec une veille en fait très concentré sur la première quinzaine. A la relecture, je me rends compte qu’on y trouve beaucoup d’oeuvres littéraires et artistiques.

Lu

  • Pour démarrer cette veille, la lecture d’un texte poétique et un peu nostalgique sur la production numérique et le rapport au temps. derrière l’encodage

  • Cet outil à la fois très pointu et totalement aisé à prendre en main pour une auto-évaluation de la maturité de son institution en matière de préservation arrive en V3 et traduit en français.

  • La demoscene enfin reconnue comme patrimoine culturel en France. La demoscene, je n’en avais aucunement entendu parlé, maintenant c’est fait. Merci aux personnes qui se mobilisent pour la patrimoine numérique.

Vu

  • Guerre d’Algérie : un documentaire inédit sur l’usage des armes chimiques déprogrammé par France Télévisions. On peut entendre l’historien Christophe Lafaye en parler chez Nova.

  • De plus en plus de production cartographique pour accéder aux fonds d’archives. Ici en Ille-et-Vilaine, à Lyon ou sur des projets plus ambitieux en Vendée. ça donne quelques idées pour 2026.

  • RICardo (Research on International Commerce) est un projet dédié au commerce entre nations sur une période allant des débuts de la Révolution industrielle à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Ce projet déjà ancien m’était totalement passé inaperçu. Une intéressante exploitation de RiC avant même une V 1.0.

Entendu

  • Chez Collège de France le quatrième cours de Patrick Boucheron sur “le sexe et le pouvoir” traite de la tyrranie masculine. Si l’ensemble des cours est à écouter, celui-ci est précieux à écouter messieurs.

  • Chez Parole d’histoire André Loez reçoit Eric Le Bourhis et Sarah Gensburger pour présenter leur ouvrage L’autre spoliation des juifs parisiens. Des échanges très intéressants sur les archives et leur matérialités.

  • Chez Grand Canal, un échange avec Gaëlle Obiégly. Autour de son roman, qui traite de la distinction entre le déchet et l’archive ?