Été 2025

Sobriété
Histoire
Marseille
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Patrimoine
Date de publication

10 septembre 2025

Une livraison un peu spéciale suite à l’été. Tout d’abord dans la section “Lu” vous trouverez de nombreuses ressources sur le patrimoine marseillais et particulièrement en lien avec l’histoire industrialo-portuaire. Ensutie une section “Vu” vide faute de contenu à partager. Et sur la forme j’ai tenté d’évoluer en mettant des citations des contenus en avant.

Lu

Ces travaux historiques ont souligné le rôle ambivalent dévolu à l’innovation technologique. Elle peut jouer un rôle clé dans la mesure, la compréhension, la dénonciation puis la réduction des pollutions industrielles, mais aussi faciliter leur acceptation. Ceci à cause des discours qui réduisent les enjeux à des aspects techniques véhiculant l’idée que la technologie finira par réparer ce qu’elle a abîmé.

Un projet ancré dans le concret avec un enjeu clair : se réapproprier le littoral, en s’appuyant sur l’espace stratégique que revêt le bâtiment rond. “Le camembert est un lien, une continuité entre la rue et la mer, tout en étant une vitrine pour le DRASSM et le sous-marin, appuie Jonathan Cacchia. Réaménager le lieu, c’est permettre aux deux éléments de ne plus tourner le dos aux Marseillais.”

Vendu à une société de récupération de métaux, le Griffon a été racheté, il y a quelques années, par un groupe de passionnés issus, notamment, de la Navale, une association marseillaise investie dans la conservation du patrimoine maritime de la Méditerranée, et des Compagnons du SAGA .

Un passé « comme souvent visible par tous mais illisible pour la plupart d’entre nous », constate le docteur en sciences politiques Paul Max Morin, 37 ans, qui a entrepris de l’expliciter. Embarquant avec lui ses étudiants de deuxième année de sciences politiques dans un projet au nom évocateur : « le coffre-fort de l’Empire ».

Conçue par le sculpteur Eugène Louis Lequesne grâce à la technique de la galvanoplastie, cette pièce de 150 kilos et 1,50 mètre de diamètre n’avait encore jamais été restaurée. « C’est la première fois qu’elle descend de sa place habituelle au-dessus de la statue.””

sans chercher à savoir si la dépendance à un dispositif digitalisé existe véritablement, nous avons adopté un point de vue compréhensif, qui prend en considération les discours d’expérience vécue de jeunes sportifs s’auto-catégorisant comme « dépendants », « accros » ou « addicts » à un outil connecté.

La rigueur scientifique n’est pas incompatible avec la sensibilité artistique, insiste Valérie Cornet, chercheuse en biologie à l’UNamur. Et l’approche art-science peut rendre la recherche plus accessible au grand public.

Si un modèle consanguin s’effondre, il peut donc se mettre à « halluciner ». Il peut aussi commencer à générer des images pas du tout naturelles, voire particulièrement jaunes.

L’intention du législateur est de rendre incommunicables perpétuellement : les documents qui permettent de conceptualiser le fonctionnement d’une arme nucléaire, biologique ou chimique ; ceux qui expliquent comment techniquement les assembler ; ceux qui expliquent comment utiliser ces armes et ceux qui indiqueraient où les trouver. Ce sont essentiellement des archives techniques et non des documents historiques. Malheureusement, plus d’une décennie plus tard, cet article est détourné de son sens.

Vu

Un été sans vidéo, ni conférence. Alors rien vu !

Entendu